Fiche technique détaillée

• Antoine: 80/100
  Nez floral, exotique sur les fleurs, avec des fleurs exotiques, de l’acacia, du miel et un sucre montant, onctueux. Le nez révèle également de la fraîcheur, du sucre glace et un peu de sel. La bouche est boisée, exotique et verte, avec un registre floral, un peu de sucre avec une finale courte..
• Stéphane: 78/100
  Nez frais, fruité, vanillé/épicé, simple mais sympathique. La bouche est tonique et vive, enjouée. Végétale (mentholée), épicée (gingembre) avec un côté bonbon / chewing gum fruité et "pétillant" / picotant. Un whisky simple mais appétissant, guilleret et ludique.
• Jean Michel:83.5/100
  Nez frais, sec avec une austérité végétale très lowland, Puis des notes florales très précises se développent sur les fleurs d’acacias ainsi que le miel. Boisé du bourbon sans excès qui apporte d’agréables notes vanillées ainsi qu’un certain exotisme (lychee, salak). Il picote un peu. La bouche est franche et fraîche, pétillante, toujours aussi florale comme si l’on mangeait des fleurs fraîches (fleurs blanches). On retrouve les mêmes sensations qu’au nez (vanille, un peu de bonbon ananas). Toutefois, l’ensemble manque un peu de chair et de complexité.

Fiche technique détaillée

• Antoine: 83/100
  Nez sucré avec un léger fumé et de l’exotisme sucré. Il y a des fruits rouges gras, fraises tagada, sherry, papaye. J’y décèle par la suite un peu de mangue, des orangettes et un peu d’arômes grillés, de barbecue (lard). Le nez est également salé, iodé, donnant des épices légères (gingembre, cumin) et présente aussi un arôme grand marnier sympa. Il est aussi beurré et biscuité. La bouche est boisée, verte, chaude avec un alcool prenant et un peu de sècheresse. Puis elle présente de l’exotisme vert mais un peu fade et assez linéaire. Sur la fin elle est plus sur les herbes et les fleurs. La finale reste boisée. Vraiment superbe nez, dommage que la bouche ne suive pas.
• Stéphane: 87/100
  Un tourbé / fumé très particulier et succulent / très appétissant, qui m'évoque des senteurs "grillées" végétales de forêts de pins et autres plantes (cystes, eucalyptus...) méditerranéennes. Bien fruité aussi (fruits rouges et agrumes: citron / mandarine). Et un boisé / épicé fondu et raffiné. Très spécial et excellent, j'adore! Dommage qu'il lui manque un peu d'ampleur. La bouche est délicieuse elle aussi, reprend le fruité / agrumique, un peu plus épicée (gingembre), avec une complexité qui se déploie au fil des minutes, un peu trop timide mais très intéressante et goûteuse. Un whisky certainement un peu trop dilué, qui manque d'ampleur et à la finale trop courte, mais excellent et très intéressant, qui se boit très (trop ?) facilement. Une excellente surprise pour cette distillerie que je ne connaissais pas ou si peu.
• Jean Michel:86/100
  Incontestablement topinambour revenu au beurre comme un Balvenie port wood 21 ans. Puis un vineux parfumé et fruité (sherry, bénédictine, mandarine impériale) se présente avec un mélange de notes plus sombres (kahlua, cacao). La bouche est aimable et veloutée, bien grasse, tapissant bien le bouche. Extrêmement agréable mais peut être moins complexe que le nez, toutefois je m’y laisse abandonner avec grand plaisir. Original.

Fiche technique détaillée

• Stéphane: 80/100
  Un bouquet très fruité (poire et autres fruits blancs, mais aussi exotiques (mangue ? kaki ?...), boisé / vanillé, épicé (gingembre) avec un petit côté vif / côtier appétissant et une sympathique fraîcheur végétale. La bouche est boisée, vanillée / épicée, avec quelques notes plus évoluées (cacao / café, beurré, fruits secs ?) mais timides et un peu trop dominées par un fond assez piquant et agressif (presque astringent). Très bon mais manquant un peu de fondu et de "complexité amplifiée".
• Jean Michel:79/100
  Le nez est 100% poire fraîche tellement que l’on a envi d’y mordre dedans. Rien d’autre ou presque ne le caractérise, mais qu’est ce que cela sent bon. La bouche est étrangement brûlante en dépit de ces 40°. Puis une fois les papilles habituées, il se fait plus aimable, voire un peu plat. Pas grand chose à signaler.
• Antoine:78.5/100
  Nez qui est superbement exotique avec du sucre, du malt, des épices légères ainsi que des herbes aromatiques. Il donne des arômes de poires (granuleuses et juteuses) et j’ai vraiment l’impression d’être en train de la croquer et savourer.. Puis de la vanilline monte avec un allé et venu de pomme accompagnée de fraîcheur. La bouche est sucrée, boisée avec un peu d’exotisme, mais devient linéaire ensuite. Elles présentent toutefois quelques épices légères quand même. La dilution ?

Fiche technique détaillée

• Antoine: 81/100
  Nez fruité, vanillé avec des herbes ainsi que des herbes aromatiques, présentant également du miel, de la bruyère et du miel de bruyère. Il y a aussi des notes de malt grillé et de biscuits cuits. La bouche est sucrée, vanillée avec des épices assez fortes. On retrouve les herbes, le miel (bruyère) mais aussi quelque chose d’exotique. La finale est courte, sèche, boisée avec des herbes.
• Stéphane: 77/100
  Nez sympa, vanillé et mi-fruité mi-floral, rond et assez gourmand. La bouche reprend le boisé / vanillé avec quelque chose de "bourbonnesque", fruits à noyau, pêche de vigne, Southern Comfort, et des notes épicées qui le tonifient un peu. Très correct et bon, mais lui manque un petit quelque chose pour vraiment m'accrocher. Je trouve la version OB 14 ans plus riche et intéressante.
• Jean Michel:80.5/100
  Nez délicat, fin, marqué par un joli boisé vanillé et un joli miel de bruyère, moins prononcé toutefois que sur les versions 12 ans et 14 ans traditionnels. La bouche est aimable, originale pour un Scapa, avec des notes de pinot bourguignon (grapette), un poil traficotées (liqueur de pêches). Aucun défaut, mais il manque le petit quelque chose qui ferait craquer.

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• Stephane: 85/100
  Nez légèrement boisé et vineux, avec une eau de vie de fruits sur les poires et prunes. Tourbé et médicinal, ainsi qu'alcooleux, il offre aussi des agrumes sur le citron et l'orange. Enfin végétal et herbacé avec un côté frais, côtier et presque moutardé. La bouche rappel le léger tourbé terreux avec beaucoup de fruité agrumique juteux. Elle est aussi sucrée, acidulée et acide. Il y a aussi des épices avec du gingembre, salin, végétal sur le foin et le mentholé et pour finir des notes lactées sur le cacao et le cappuccino.
• Jean Michel:85.5/100
  On démarre sur des touches agrumiques agréables complétées rapidement par de belles notes côtières, salées, sapides, appétissantes. La bouche a une attaque savoureuse, sur l’écorce d’orange, un peu brûlante mais plutôt bien fondue lorsqu’on prend connaissance du degré alcoolique. La bouche est salée, salivante. Puis le deuxième service arrive, franchement phénolique, plus médical que fumée. La finale est longue et chaude.

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• Antoine: 82/100
  Nez fumé, tourbé, gars avec des arômes de barbecue, de feu de cheminée mais aussi avec du sucre léger, des herbes aromatiques. Il détient un beau fumé linéaire. La bouche est elle aussi fumée, tourbée, avec des herbes aromatiques fortes ainsi que des épices légères, du sucre et des arômes citronnés. Un peu acide toutefois. Il reste en tout cas bien sur la fumée de cheminée du nez. Beau parallèle.
• Stéphane: 89/100
  Nez: Intense et beau tourbé, terreux / végétal, viandé. Evocation de grillades de viande aux herbes de Provence... appétissant! Pointe de vanille et d'épices, avec une délicieuse brise marine saline / iodée. Un superbe bouquet, fin et racé, dont on ne peut que déplorer une certaine timidité à se livrer totalement.
  Bouche: Attaque à fond sur la tourbe bien terreuse et végétale, avec une belle amertume végétale. Le corps est plutôt mince et fluide. Notes d'agrumes, on hésite entre "pressés" et cuits / confits (marmelade d'oranges, zestes de citron). Herbes arômatiques rafraichissantes. Réglisse? soupçon de cacao et de capuccino.
  Très épicée (gingembre) et saline/iodée, picotante / titillante, excitante / appétissante. Une belle et longue finale multi-couches, avec toutefois une pointe d'agressivité acide / astringente. Un superbe whisky, fin, racé, vif, appétissant et assez complexe.
• Jean Michel: 84.5/100
  Nez étonnement citronné avec bien sur le caractère Islay incontournable mais presque discret. La bouche est totalement différente. Les agrumes ont disparu, Ardbeg revient à fond, explosif, plein de sucres résiduels. C’est comme sucer un bâton de réglisse dont on tirerait tous les sucs. De la poussière, comme avaler les flocons de neige au vol.

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• Antoine: 89/100
  Nez sucré, sherry (avec pruneau et figue), frais, macérés, gras, présentant aussi de l’exotisme. Ensuite il offre des fleurs, du sucre, un léger sel, puis un retour sur des fruits exotiques, bananes et un peu d’orange. Un vrai panier de fruits et de malt (légèrement grillé), un florilège exotique, acidulé et un peu tannique. La bouche est légèrement alcooleuse, avec des épices, des saveurs exotiques à fond, du sucre. Beaucoup de chaleur est donnée par le whisky, le tout enveloppé par du sel, des fruits rouges. Il est toutefois un peu astringent et tannique (contenu), avec une petit sècheresse. La finale est sèche, boisée, chaude et épicée.
• Stéphane: 91/100
  Ce qu'un sherry peut donner de mieux en délicieux fruité / vineux / épicé! Une vraie gourmandise, avec plein de fruits à l'eau-de-vie, confiturés, marmeladés... pruneaux, fruits rouges et noirs, orange... Un très beau boisé / épicé, une puissance très bien canalisée vers l'explosion capiteuse des arômes et non pas de l'alcool. On y passerait des heures... La bouche reprend le bouquet, puissante elle aussi pour un "degré moyen", on lui donnerait facilement plutôt 50°, en plus des fruits, elle est un peu plus boisée / tannique / épicée que le bouquet, avec un petit côté sec légèrement astringent / asséchant en milieu de bouche, mais une finale longue, complexe et réconfortante.
• Jean Michel:92/100
  Nez sur le noyau de cerise, le chocolat mon chéri, kirsch, bougrement appétissant. Il est également exotique tel un vieux rhum agricole. La bouche est acidulée, sans lourdeur excessive, gourmande, vineuse, grasse et chaude. Savoureuse à souhait. Un whisky qui impose qu’on lui consacre du temps, surtout ne pas se bousculer.

Fiche technique détaillée

• Antoine: 86.5/100
  Nez sucré, chaud, sur les fruits rouges, avec du malt et du malt grillé, ainsi qu’un léger fumé. L’alcool est montant de plus en plus. J’y décèle des arômes de barbecue, de lard presque cuiré, faisandé. Un trait légèrement exotique agrémente le tout (pruneau et figue). La bouche est alcooleuse, grasse, fruitée, épicée, chaude, avec comme le nez les fruits rouges, très sherry, et des arômes acidulés. Il y a une légère amertume, un peu d’astringence, accompagnées de boisé, de sel et de force tannique. Puis elle devient herbacée, florale en fin de bouche. Avec de l’eau, même beaucoup, elle devient velouté mais l’alcool reste présent. La finale est boisée, florale / herbacée et sèche.
• Stéphane: 85/100
  Nez intense, chaud, alcooleux, évoque un peu le Glenfarclas Heritage à 60°. Boisé (un poil bouchonné ?), vineux (marc de raisin), fruits cuits et l'eau-de-vie (pruneaux, figue...). Légèrement tourbé et médicinal, voire un poil fumé / viandé ? Excellent et gras, mais manque un peu "d'amplitude sherry et de complexité" (notamment par rapport au Longmorn 72 goûté juste avant). Excellent, mais sa puissance semble un peu figer et restreindre les arômes. La bouche est aussi très chaude et puissante, heureusement enrobée par un excellent et riche fruité / vineux mi-juteux mi-eau de vie. Vraiment très gras et dense, avec une finale longue, chaleureuse mais aussi assez brûlante et agressive. Un "whisky sherry" qui ne fait pas dans la dentelle! La note tient compte du fait qu'un petit filet d'eau enlève son trop plein de puissance et le rend succulent, sinon elle serait un peu plus basse.
• Jean Michel:???
  Nez sur le miel de châtaigne avec un joli vineux. On sent les douelles avec de l’astringence. Les 62° passent totalement inaperçus. Quel équilibre ! Avec un peu d’eau les notes sont acidulées et il présente des arômes de dragibus. La bouche elle déménage littéralement. La moutarde me monte au nez…. Trop c’est trop. Avec de l’eau l’équilibre est retrouvé et il se fait velouté, gras, avec des pruneaux à l’armagnac.