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Flacons LOCHSIDE

 

Lochside 81/02 cask 605/6 Berry Bros - 43°: 84/100 (blind oct 2008)

Fiche technique détaillée

Antoine : 81.5/100
Nez débutant sur de l’exotisme, de l’ananas, de la papaye mais aussi les fleurs et feuilles exotiques. En fait, il s’établit plus sur le végétal par la suite. Il y a quelques épices légères style cardamome et un trait médicinal (éther). En aérant, le fruit se révèle à nouveau sur cette dois des fruits confits style oranges, agrumes et pêches. La bouche ressemble au départ du nez avec de l’exotisme fruits et fleurs. Elle présente également des épices légères, de la fraîcheur et une légère amertume. L’alcool est maîtrisé. Je retrouve la pêche du nez en fin de bouche, mais sans plus. La finale est dans la lignée de la bouche.

Steph : 84/100
Nez: Un peu alcooleux au départ, avec un léger côté solvant chimique un poil désagréable. Puis Développe un très beau fruité (orange, citronnelle, ananas…). Avec une grande fraîcheur végétale. Des notes de céréales (bouillies ?). Pointe d'épices (muscade, cannelle). Bouche: Dense, charnue, ronde et suave. Délicieux bonbons à l'orange et au citron. Une pointe épicée sympa qui revigore (gingembre, poivre blanc ?). Belle fraîcheur végétale. Un whisky très agréable, frais, pimpant et gourmand, manquant toutefois de complexité pour le rendre vraiment intéressant.

Jean Michel : 86/100
Nez : Tout de suite très gourmand. Ananas confit. Plein de trucs confits, en fait. Pétales de rose au sucre. Suave, miellé, concentré. Belle panoplie d'épices douces également ; cannelle, muscade, et autres épices à vin chaud. Un poil d'éther pour une légère sensation médicinale. Bel équilibre entre les fruits gourmands et une certaine vinosité (cacao léger). Egalement un je ne sais quoi de rustique qui s'exprime par quelques notes fermières et un léger fumé. Encore un très beau nez, riche et plaisant. Après une attaque douce un peu passe-partout, la bouche décolle de façon étonnante au bout d'une quinzaine de secondes sur de très puissants arômes de fruits à noyau (pêches de vignes). C'est pas bien complexe, mais c'est très bon, et ça donne à ce malt un petit air Irlandais. Les 43% sont parfaitement bien exploités. La finale est longue et savoureuse


Lochside 90/05 OMC refill hog 1648 - 50°: 84.5/100 (blind oct 2008)

Fiche technique détaillée

Antoine : 84/100
Nez fumé et végétal avec des herbes de Provence, mais aussi du sucre, de la réglisse légère, le tout mélangé à des fruits exotiques et des fruits mais ils arrivent bien après les voiles de fumées qui d’ailleurs s’évanouissent. A chaque humage, il y a un enrobage sucré qui explose tel une crème anglaise, une banane caramélisée flambée, ou rhum. La bouche est légèrement alcooleuse, présent mais maîtrisé. Elle donne des arômes de végétaux exotiques, des épices se mêlant à des herbes aromatiques, une légère fumée ainsi qu’une petite réglisse. Il y a également de l’amertume tout de même. La finale s’établit sur un voile amer et un peu de fumée.

Steph : 87/100
Nez: Assez médicinal / gin au début. Végétal, herbes aromatiques. Puis de plus en plus fruité (agrumes, exotique) avec un beau fond boisé vanillé coco. Bouche: Légèrement fumée, viandée, appétissante. Chaude. Ici aussi un beau fruité (agrumes, exotique) s'affirme de plus en plus. Légèrement épicé (gingembre, vanille) et végétal. Belle finale. Vraiment un très bon whisky qui évolue beaucoup.

Jean Michel : 82/100
Nez : D'abord fumé et végétal, il s'enrichit rapidement de belles notes de fruits exotiques et de pêche. Beaucoup de vanille (crème anglaise, chocolat blanc). Evoque une banane flambée, ou un verre de rhum Charrette. Une touche cacaotée et agrumique (orangettes) complète un ensemble des plus séduisant. A une attaque chaude sur la vanille, succède une bouche savoureuse. Du gras et de la mâche, mais sans proposer la même complexité que le nez. Dommage. Puis se durcit et prend un tour très végétal et poivré. C'est le mauvais côté des lactones... La finale est signée par une amertume marquée. Encore un whisky non dénué d'originalité, mais desservi par une bouche qui ne concrétise pas les promesses du nez .


 

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