Flacons SAINT MAGDALENE

 

Saint Magdalene 1975/2005 G&M Rare Old - 43° : Fiche technique détaillée 79.5/100 (dégustation de mi mai 2007)

Jean Pierre : 77/100
Nez avec beaucoup de fruité, un brin animal et un poil floral. Il tourne autour de cas notes. Les fruits sont rouges (framboises), avec des rondelles de pomme séchées et des pralines de fêtes foraines. J’y décèle quelques notes d’agrumes également. La bouche est fraîche, sur le bois de cagettes, le bâtonnet des esquimaux (glace) quand on les lèche. Chocolatée aussi et un peu effervescent, manquant peut être d’alcool.

Antoine : 81/100
Nez fruité, sucré, légèrement alcooleux avec des fruits rouges acidulés, quelque peu confiturés (framboises, fraises), avec un léger côté biscuité, malté. Assez fin. Puis arrivent coing, fruits revenus à la poêle avec du sucre. De léger trait balsamique confit le caractérise également avec des pointes de poires au chocolat saupoudré d’épices pour rehausser le tout. Le côté alcooleux disparaît totalement ensuite et des arômes marins apparaissent, puis il devient assez floral en fin de nez. Complexe. Pomme !! La bouche est légèrement épicée, maltée, presque « vert » avec une légère astringence et un peu d’amertume, asséchante. Des allées et venues tantôt floraux, tantôt agrumes, dénotent par rapport au nez. Il ne passe absolument pas avec du sucré. La finale est sur des arômes de cacao amer et des fleurs.

Stéphane : 79/100
Nez complexe, bon, élégant et raffiné avec un joli boisé, vanillé, épicé avec de légers arômes floraux. Il est aussi fruité avec des agrumes (citron, orange). Il devient toutefois de plus en plus picotant, presque agressif mais il redevient doux rapidement. Changeant. La bouche est chaude, enveloppante. Bonne et originale, elle est sur les agrumes confits avec des notes évoluées de fruits secs et de cacao. Il n’est pas mauvais, mais il part un peu dans tous les sens sans vraiment s’affirmer.

François : 81/100
Nez sur des notes d’oranges confites et d’abricots secs. Sucré acide. La bouche est légèrement épicée, suivi d’un goût cacaoté.