L'abus d'alcool est dangereux
pour la santé
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GOUTER et RECRACHER
Balvenie 21 ans Port Wood - 40°
Appréciation d'Antoine :NOTE TOTALE : 81/100 |
Equilibre alcooleux / rondeur : 7.5/10 | |
Typicité / originalité : 6.5/10 | |
Complexité arômatique : 7.5/10 | |
Qualité / durée de la finale : 5/10 |
Bouquet | Bouche | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
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Sucré | / | Acide | / | Amer | / | Astringent | / | Picotant / Piquant | / | Effervescent |
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Robe : | Paille | Or léger | Or soutenu | Ambrée | Cuivrée | Rosée | Orangée | Marron | Tuilée | Acajou | Autre |
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Température adéquate : | Frais (<= 16°) | Chambré (env. 18°) | "Chaud" (>= 20°) |
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Moment idéal : | Apéritif | Après-midi | Dessert | Digeo | Autre |
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Accords culinaires : | ... |
Accords cigares : | ... |
Commentaires : | Nez sur les fruits acidulés, sucrés (sur les arômes de barbapapa fraise), maltés, avec aussi des arômes vineux, de vins cuits, tout cela d’entrée très présent, avec de la chaleur et de la rondeur. Il y a une certaine fraîcheur mentholée, des pointes de fleurs sucrées et acides également. La sensation alcooleuse est présente sans doute due à l’acidité. Un peu de sel, un peu d’épices fugaces, voir quelque chose de médicinal et parfumé, sans oublier les agrumes typiques Balvenie (citron, orange, clémentine). La fin de nez est ensuite linéaire et grasse. La bouche débute sur une amertume boisée, grasse et vineuse bien présente. Du sucre ensuite, du fruit très macéré ( raisins, melon au porto) avec de la chaleur et un peu de sècheresse. On retrouve l’acidité du nez, le malt aussi (fermenté style bière) ainsi que quelques touches végétales et de la peau de fruits (melon). Enfin de petites pointes viandées, viandes macérées aux vins, daube en sauce. La finale est fluide, légèrement amère, boisée et macérée sans trop d’envergure certainement du à la dilution. |
NOTE TOTALE : 86/100 |
Equilibre alcooleux / rondeur : 7.5/10 | |
Typicité / originalité : 8/10 | |
Complexité arômatique : 8/10 | |
Qualité / durée de la finale : 7.5/10 |
Bouquet | Bouche | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
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Sucré | / | Acide | / | Amer | / | Astringent | / | Picotant / Piquant | / | Effervescent |
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Robe : | Paille | Or léger | Or soutenu | Ambrée | Cuivrée | Rosée | Orangée | Marron | Tuilée | Acajou | Autre |
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Température adéquate : | Frais (<= 16°) | Chambré (env. 18°) | "Chaud" (>= 20°) |
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Moment idéal : | Apéritif | Après-midi | Dessert | Digeo | Autre |
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Accords culinaires : | ... |
Accords cigares : | ... |
Commentaires : | Nez: Plus timide que les autres versions qui l'ont juste précédé ce soir là, on sent la réduction plus forte ce qui est bien dommage, car il apparaît comme étant délicieusement fruité et gourmand, avec cette fois un penchant vers les fruits rouges et cuits plutôt que les exotiques et les agrumes. Le boisé est très fin et complètement fondu. Bouche: Elle aussi bien calquée sur le bouquet. Très beau fruité juteux gourmand et riche, avec des notes épicées (gingembre) et salines agréablement titillantes, un boisé / vanillé étonnamment fondu pour l'âge, quasiment sans tannins ni astringence. Une pointe fumée / viandée ? Et toujours ces belles notes d'herbes arômatiques (cumin ? anis ?) qui rafraichissent le tout. Quel dommage que la dilution soit si perceptible. |
NOTE TOTALE : ?/100 |
Equilibre alcooleux / rondeur : ?/10 | |
Typicité / originalité : ?/10 | |
Complexité arômatique : ?/10 | |
Qualité / durée de la finale : ?/10 |
Bouquet | Bouche | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
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Sucré | / | Acide | / | Amer | / | Astringent | / | Picotant / Piquant | / | Effervescent |
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Robe : | Paille | Or léger | Or soutenu | Ambrée | Cuivrée | Rosée | Orangée | Marron | Tuilée | Acajou | Autre |
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Température adéquate : | Frais (<= 16°) | Chambré (env. 18°) | "Chaud" (>= 20°) |
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Moment idéal : | Apéritif | Après-midi | Dessert | Digeo | Autre |
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Accords culinaires : | ... |
Accords cigares : | ... |
Commentaires : | ... |
NOTE TOTALE : 79/100 |
Equilibre alcooleux / rondeur : 7/10 | |
Typicité / originalité : 7/10 | |
Complexité arômatique : 5.5/10 | |
Qualité / durée de la finale : 6/10 |
Bouquet | Bouche | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
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Sucré | / | Acide | / | Amer | / | Astringent | / | Picotant / Piquant | / | Effervescent |
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Robe : | Paille | Or léger | Or soutenu | Ambrée | Cuivrée | Rosée | Orangée | Marron | Tuilée | Acajou | Autre |
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Température adéquate : | Frais (<= 16°) | Chambré (env. 18°) | "Chaud" (>= 20°) |
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Moment idéal : | Apéritif | Après-midi | Dessert | Digeo | Autre |
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Accords culinaires : | ... |
Accords cigares : | ... |
Commentaires : | Le nez est assez similaire au 1989, avec des notes végétales plus marquées, et du bonbon au miel crémeux. L'attaque est 100% sur le cœur d'artichaut et le topinambour. C'est là un grand mystère pour moi : j'ai beau faire tous les sites et interroger tous mes compagnons de dégustation, personne ne me suit sur ce terrain là, alors que je ne sens (presque) que ça ! Lui aussi ne titre que 40°, mais l'on ressent plus de puissance qu'au contact du 1989. Psychologie de l'étiquette ? La bouche est grasse, mais on aurait aimé plus d'épices, là où elles sont distillées à dose homéopathiques. Le séjour prolongé dans le fût a libéré plus de tanins que chez son petit frère (ça rape un peu sur la fin). Une expérience somme toute pas désagréable, mais dans cette gamme de prix, ça ne suffira pas à me détourner du Longmorn 25yo de G&M. |