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Flacons GLENMORANGIE

 


Glenmorangie Traditionnal, Official bottling - 57.2°: 83/100 (février 2008)

Fiche technique détaillée

Antoine : 76.5/100
Nez chaud, viandé, faisandé, fruité avec un début d'arôme exotique. L'alcool est présent. Je ne sais si les arômes sont là grâce à l'alcool ou pas. J'y décèle un peu d'amertume au nez, étonnant. Il y a tout de même du citron, des agrumes en tarte (tarte citron meringué). Court et médicinal. La bouche est sucrée, très macérées, très fruitées, avec du malt, des arômes torréfiés, une légère amertume et un alcool fort mais prenant. Elle donne des côtés végétaux, légumineux et herbacés. Sur la fin de bouche, il y a des aspects floraux avec un peu de cacao, mais succinctement. La finale est douce amère, sèche et macérée.

Jean Pierre : 79/100
Nez qui débute par des champignons, de la noisette, de la poudre d'amande, ainsi que des choux chinois à la vapeur. Simple, trop peut être, il a des allures de starter. Il apporte quand même un côté beurré, de la brioche chaude tartinée de beurre. Enfin une touche d'encre. La bouche est trop agressive pour les saveurs qu'il procure.

Steph : 82.5/100
Nez médicinal, alcooleux, pointe d'iode ?, végétal, herbes aromatiques, boisé voire tannique, légèrement beurré (palet breton). Un nez assez austère, avec un côté minéral qui m'évoque certains chablis. La bouche reprend cette étrange minéralité du nez. Végétale, bien fraîche, vive et agréable malgré sa puissance alcoolique assez évidente. Salée / épicée (gingembre), titillante presque pétillante. M'évoque un peu un gin parfumé et puissant comme le Tanqueray. Rien de grandiose ni de complexe, mais cette bouche a une franchise et une pureté qui me plaisent bien.

Jean Michel : 79/100
Le nez présente comme un air de famille avec le précédent : Puissance, vanille, et un poil d'exotisme. Mais l'alcool semble moins bien maîtrisé, et frappe plus fort au visage, avec la vigueur fraîche et citronnée d'un new make peu réduit. Puis le nez s'habitue, une touche de miel apparaît, en même temps que des notes patissières (tarte au citron meringuée). L'attaque est d'abord brûlante. Pourtant le Nadurra qui précédait n'était pas un petit joueur ! La bouche présente d'abord une certaine suavité, dominée là encore par le vanillé fruité, mais sans la concentration du Nadurra. L'ensemble est un peu simple, mais plutôt plaisant. Puis la bouche s'écroule d'un coup, sans laisser de souvenir. Où est passée la finale ?

 


 

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