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Flacons GLENLIVET

 

Glenlivet 16 ans Nadurra, Official bottling - 57.2° : 81.5/100 (février 2008)

Fiche technique détaillée

Antoine : 78/100
Nez sur les fruits à l'eau de vie, chaud, un peu piquant et alcooleux, prenant, avec du malt grillé. Il donne ensuite des fruits rouges de macération, peut être un peu d'arômes faisandés. Ensuite un voile de fleurs exotiques apparaît ainsi que du citron. La bouche est sucrée, fruitée, avec de la mangue, de la grenade, un florilège exotique léger et très prenant. L'alcool est assez présent mais j'aime bien. Il y a aussi quelque chose d'indéfinissable sur un fruit à noyau, mais lequel ? Puis encore des arômes viandés mais j'accroche pas trop. La finale est sans trop de voyage !! Passerais-je à côté ?

Steph: 79/100
Nez vineux ou du moins tannique (présence de sherry?), alcooleux et puissant, presque médicinal. Eau de vie de fruit (abricot? prune?). Une certaine fraîcheur végétale vivifiante, pins de bord d'océan.. Pas mauvais mais rien d'extraordinaire non plus. La bouche détient un beau fruité juteux (citron / citronnelle), vive et guillerette malgré un côté quand même assez chaud, puissant et alcooleux. Picotant, épicé (gingembre), un peu astringent à la longue, supporte (nécessite ?) un petit filet d'eau. Un peu simple, avec un équilibre "limite" et une finale qui tombe assez vite... je n'accroche pas..

Jean Michel : 87/100
Le premier nez pique un peu, mais très vite, vanille et exotisme dominent et adoucissent la sensation de brûlure. Un vanillé gourmand accompagné d'ananas (caranougat aux fruits). Bonbon acidulé "Arlequins". Les notes agrumiques présentent un bel équilibre entre acidité et douceur (kumquats ?). Un whisky très aromatique, avec également de la citronelle, de la verveine, et un côté plus épicé (thym, origan). L'attaque, chaude, présente un joli fruité. En bouche, on retrouve l'ananas, et l'exotisme de la citronelle. De l'abricot également, et du chocolat blanc (toujours la vanille...). Tout cela est bougrement apétissant, très suave, mais mes voisins semblent plus circonspects. Vanille + fruits + voisins pas emballés = Glenlivet ? L'équation est imparrable. Seul bémol : cette amertume qui s'installe en deuxième partie de bouche, d'abord discrète, mais qui s'amplifie tout au long d'une finale persistante. Je serais bien resté sur le fruit et le chocolat blanc, moi...

 

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